Un client vient de m'envoyer cette jolie histoire...
L'homme qui ne dormait plus
Marc était un homme d'affaires accompli, à la tête d'une entreprise florissante qui employait plus d'une centaine de personnes. Il avait tout pour être heureux : une belle maison, une famille
aimante, une carrière réussie. Mais il y avait un problème qui le rongeait depuis des années : il ne dormait plus. Ou du moins, très mal.
Marc avait toujours eu du mal à s'endormir, à se détendre, à lâcher prise. Il se couchait tard, se levait tôt, et passait ses nuits à ressasser ses soucis, ses projets, ses responsabilités. Il se
sentait constamment fatigué, stressé, irritable. Il avait essayé toutes sortes de remèdes : des tisanes, des médicaments, de la musique relaxante, de la méditation... Rien n'y faisait. Il n'avait
jamais consulté de spécialiste du sommeil, par peur du diagnostic, par fierté, par manque de temps.
Mais un jour, il n'en put plus. Il se rendit compte qu'il mettait en danger sa santé, son travail, sa famille. Il décida de prendre rendez-vous chez une kinésiologue qui lui avait été recommandée
par un ami. Elle pratiquait un protocole qui s'appelait "libération des tensions anciennes" et qui permettait grâce à un toucher léger sur des zones de la tête, à libérer les énergies négatives
bloquées mais aussi les énergies positives bloquées également.
Marc était sceptique, mais il se dit qu'il n'avait rien à perdre. Il se rendit au cabinet de la kinésiologue, une femme souriante et douce qui s'appelait Florence. Elle l'accueillit
chaleureusement et l'invita à s'allonger sur une table de massage. Elle lui expliqua le déroulement de la séance, qui durerait environ une heure. Elle lui dit qu'il n'avait rien à faire, juste à
se laisser faire et à respirer calmement.
Elle commença alors à poser ses mains sur le crâne de Marc, en exerçant une légère pression sur certains points. Marc sentit une sensation de chaleur et de détente envahir son corps. Il se laissa
aller, sans penser à rien. Il ferma les yeux.
Et il s'endormit.
Un sommeil profond, paisible, réparateur. Un sommeil qui ressemblait aux micros siestes des sportifs. Un sommeil qu'il n'avait pas connu depuis longtemps.
Il se réveilla au bout d'une heure, quand Florence lui tapota doucement l'épaule. Il ouvrit les yeux et la regarda avec étonnement. Il ne comprenait pas ce qui s'était passé. Il se sentait
reposé, apaisé, régénéré.
Florence lui sourit et lui dit :
- Vous vous êtes endormi pendant la séance. C'est très bon signe. Cela veut dire que vous avez libéré beaucoup de tensions et que vous avez accédé à un état de relaxation profonde.
- Je me suis endormi ? Mais comment est-ce possible ? Je n'arrive jamais à m'endormir comme ça !
- C'est possible grâce au protocole que j'utilise. Il agit sur le système nerveux central et permet de rééquilibrer les énergies du corps et de l'esprit. En touchant certains points sur votre
tête, je stimule la circulation du sang et de l'oxygène dans votre cerveau, ce qui favorise le sommeil.
- C'est incroyable... Je n'ai jamais ressenti ça !
- C'est normal. Vous avez probablement accumulé beaucoup de stress et d'émotions négatives au fil des années, ce qui a perturbé votre cycle du sommeil. En libérant ces blocages, vous retrouvez
votre capacité naturelle à dormir.
- Et ça va durer ?
- Ça va dépendre de vous. Il faudra sans doute plusieurs séances pour consolider les effets et pour changer vos habitudes de vie. Mais cette première séance vous a prouvé qu'il était possible
pour vous de vous endormir facilement.
- Merci beaucoup... Je ne sais pas comment vous remercier !
- De rien ! C'est mon métier ! Je suis heureuse de vous avoir aidé. Je vous conseille de boire beaucoup d'eau après la séance, pour éliminer les toxines. Et de vous reposer ce soir, pour profiter
de votre sommeil retrouvé.
Marc se leva, se rhabilla, et paya la séance. Il remercia encore Florence et sortit du cabinet. Il se sentait léger, comme si un poids avait été enlevé de ses épaules. Il se dit qu'il allait
suivre les conseils de Florence et qu'il allait prendre soin de lui. Il se dit qu'il avait peut-être trouvé la solution à son problème.
Il se dit qu'il allait enfin dormir.
Julie est une femme de 35 ans qui fume depuis l'âge de 16 ans. Elle fume environ un
paquet de cigarettes par jour, ce qui lui coûte cher et lui cause de nombreux problèmes de santé. Elle souffre de toux chronique, de maux de tête, de fatigue, d'essoufflement, de palpitations et
d'irritabilité. Elle a aussi des risques accrus de développer des maladies cardiovasculaires, respiratoires ou cancéreuses.
Julie a déjà essayé plusieurs méthodes pour arrêter de fumer, comme les patchs, les gommes, mais sans succès. Elle se sent prisonnière de sa dépendance et culpabilise de nuire à sa santé et à
celle de son entourage. En effet, son fils de 8 ans, Lucas, a de l'asthme et est souvent exposé à la fumée passive de sa mère. Julie sait qu'elle met en danger la vie de son enfant, mais elle
n'arrive pas à se défaire de son addiction.
Un jour, elle entend parler de la kinésiologie, une méthode qui vise à rétablir l'équilibre entre le corps et l'esprit en utilisant le test musculaire. Elle décide de prendre rendez-vous avec un
kinésiologue pour tenter une nouvelle approche. Elle espère que cette technique lui permettra de comprendre les causes profondes de son comportement et de libérer les blocages émotionnels qui
l'empêchent d'arrêter de fumer.
Lors de sa première séance, Julie se sent accueillie et écoutée par la kinésiologue, qui lui explique le déroulement et les objectifs du processus. Elle lui fait passer un test musculaire pour
évaluer son niveau de stress et son état énergétique. Elle lui pose ensuite des questions sur son histoire personnelle, ses motivations, ses peurs et ses croyances liées au tabac. Elle utilise le
test musculaire pour vérifier la cohérence entre ses réponses verbales et ses réponses corporelles.
Julie découvre ainsi que sa dépendance au tabac est liée à un manque d'estime de soi et à un besoin de se rassurer. Elle réalise qu'elle fume pour combler un vide affectif et pour se donner une
contenance sociale. Elle prend conscience que le tabac est un faux ami qui lui procure une illusion de plaisir et de sécurité, mais qui en réalité la rend malheureuse et malade.
La kinésiologue l'aide alors à se reconnecter avec ses ressources intérieures et à renforcer sa confiance en elle. Il lui propose des exercices de relaxation, de respiration, de visualisation et
d'affirmation positive pour changer son rapport au tabac et à elle-même. Elle lui suggère aussi des conseils pratiques pour réduire sa consommation et gérer son sevrage, des exercices à faire à
la maison, boire beaucoup d'eau, d'éviter les situations à risque ou se récompenser pour ses efforts.
Julie sort de la séance avec un sentiment de soulagement et d'espoir. Elle se sent plus forte et plus déterminée à arrêter de fumer. Elle remercie la kinésiologue pour son écoute bienveillante et
son accompagnement personnalisé. Elle prend rendez-vous pour une deuxième séance dans deux semaines.
Florence Bouillard - kinésiologue
Connais-tu cette expression ?
c'est une phrase qui peut servir de motivation pour se lancer dans un projet, une action ou un changement. L’idée est de dire qu’il vaut mieux faire quelque chose même si ce n’est pas parfait, que de ne rien faire du tout.
Par exemple, il vaut mieux écrire un article, même s’il n’est pas très bon, que de ne pas écrire du tout. C’est une façon de surmonter la peur de l’échec ou du jugement.
Version enfant :
"Parfois tu as envie de faire quelque chose, comme dessiner, jouer ou apprendre, mais tu as peur que ce ne soit pas bien fait ou que les autres se moquent de toi. Alors tu n’oses pas commencer et tu restes sans rien faire.
Mais ce n’est pas une bonne idée, parce que tu ne progresses pas, et tu ne t’amuses pas.
Il faut que tu te dises que c’est mieux de faire quelque chose, même si ce n’est pas parfait, que de ne rien faire du tout. Par exemple, c’est mieux de dessiner un bonhomme, même s’il n’est pas très beau que de ne pas dessiner du tout. C’est comme ça que tu vas t’améliorer et prendre confiance en toi. Ne laisse pas la peur t’empêcher de faire ce que tu aimes."
Florence Bouillard
- "Préparer des repas pour un enfant qui ne mange que des aliments de couleur blanche peut être un défi, car il faut veiller à lui apporter tous les nutriments dont il a besoin pour sa croissance et sa santé. Il est important d’essayer de faire découvrir à votre enfant d’autres couleurs et saveurs dans son alimentation, car les fruits et légumes sont riches en vitamines, minéraux et fibres. Vous pouvez lui proposer des aliments de différentes couleurs sous forme de morceaux, de purées, de jus ou de smoothies. Vous pouvez aussi lui faire participer à la préparation des repas, en le laissant choisir les aliments, les toucher ou les goûter. Il faut parfois plusieurs essais avant qu’un enfant accepte un nouvel aliment, alors ne vous découragez pas !
- "Est-ce qu'une kinésiologue peut aider mon enfant à accepter de découvrir de nouveaux goûts ?"
- "La kinésiologie est une méthode qui vise à rétablir l’équilibre du corps et de l’esprit en travaillant sur les tensions musculaires liées au stress ou aux émotions. Elle peut aider votre enfant à accepter de découvrir de nouveaux goûts, si sa réticence est due à un blocage émotionnel, une peur ou un traumatisme. Par exemple, si votre enfant a eu une mauvaise expérience avec un aliment, s’il a été forcé de manger quelque chose qu’il n’aimait pas, ou s’il associe certains goûts à des situations désagréables.
Le kinésiologue va utiliser le test musculaire, qui consiste à exercer une légère pression sur le bras ou la jambe de votre enfant, pour dialoguer avec son corps et identifier la cause de son problème. Il va ensuite lui proposer des techniques de correction, comme des massages, des points d’acupression, des exercices de respiration ou des visualisations, pour libérer le stress et rétablir la circulation de l’énergie. Le kinésiologue peut aussi vous donner des conseils pour accompagner votre enfant dans la découverte des aliments, en respectant son rythme et ses envies.
La kinésiologie n’est pas une médecine, mais une pratique complémentaire qui peut être bénéfique pour votre enfant à condition de choisir un professionnel sérieux et formé. Vous pouvez consulter les sites du Syndicat national des kinésiologues ou la fédération des kinésiologues, pour trouver un kinésiologue près de chez vous : https://www.snkinesio.fr/ , https://www.federation-kinesiologie.fr/ "
- "Comment expliquer cette future séance à mon enfant ?"
- "Pour expliquer la séance de kinésiologie à votre enfant, vous pouvez lui dire que vous allez voir une personne qui va l’aider à se sentir mieux et à aimer plus de choses à manger. Vous pouvez lui dire que cette personne va lui parler, lui toucher le bras ou la jambe doucement, et lui faire faire des gestes ou des jeux rigolos. Vous pouvez lui dire que c’est comme un jeu, où il n’y a pas de bonnes ou de mauvaises réponses, et qu’il peut dire ce qu’il ressent et ce qu’il pense. Vous pouvez lui dire que c’est pour son confort et que vous serez avec lui pendant toute la séance. Vous pouvez aussi lui montrer des photos ou des vidéos de kinésiologues qui travaillent avec des enfants, pour qu’il se familiarise avec la méthode."
- "et si mon enfant ne veut pas y aller ?"
-"Si votre enfant ne veut pas aller à la séance de kinésiologie, il ne faut pas le forcer, car cela risquerait de le braquer et de le stresser davantage. Il faut essayer de comprendre pourquoi il refuse, et de le rassurer. Peut-être qu’il a peur de l’inconnu, qu’il se sent coupable ou honteux de son problème, qu’il n’a pas confiance en lui ou en la personne qui va le recevoir. Vous pouvez lui expliquer les bienfaits de la kinésiologie, lui montrer des témoignages d’autres enfants qui ont été satisfaits, lui dire que vous serez à ses côtés, et lui laisser le choix de la date et de l’heure du rendez-vous. Vous pouvez aussi lui proposer d'associer cette sortie avec quelque chose d'agréable comme une sortie ou une activité qu’il aime le jour du rdv ou les jours juste après. L’important est de respecter son rythme et son envie et de ne pas le culpabiliser ou le juger."
Florence Bouillard - https://www.kinesiologie-besancon.com/
Lorsque, par exemple, une mère meurt prématurément, les enfants de cette famille ont un besoin intime de suivre la mère dans la mort. C'est un amour intérieur très profond. Cet amour profond lie l'enfant au destin de sa mère. Ce désir de suivre la mère est parfois seulement ressenti, sans être réellement réalisé. Mais souvent, un tel enfant tombe malade, même plus tard, à l'âge adulte.
Tous les mouvements qui mènent à la mort trop tôt, ont une chose en commun : ils ne tiennent pas compte de l'autre personne. L'amour qui s'y exprime est aveugle. Le fils qui a perdu sa mère et veut la suivre dans la mort, ne regarde pas la mère dans les yeux. Il procède comme s'il était aveugle. C'est un amour aveugle. En effet, si le fils devait regarder sa mère dans les yeux et lui dire intérieurement : "Je te suis dans la mort", il se rendrait compte qu'il ne peut pas prononcer ces mots, car il sentirait clairement que sa mère l’aime d’un amour immense. Alors cet amour aveugle ne pourrait plus s’accomplir de cette façon tragique.
L’enfant peut trouver une autre issue, une issue qui honore la mère. Par exemple, il l'honore, quand il lui dit :
« Tu m’as tellement manqué. Sans toi, je peux difficilement exister. Mais maintenant, je te regarde. Je prends ma vie au prix que tu as payé pour elle. Maintenant je fais quelque chose de bien avec. Tu seras heureuse en me regardant ».
Ainsi, la perte de la mère se transforme en une force pour vivre pleinement, pour vivre une grande vie. L’enfant honore ainsi sa mère d'une toute autre manière qu'en mourant.
BERT HELLINGER
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#florencebouillard
#kinesiologie
#constellationsfamiliales
A. ( cinquantenaire) est venu me voir en janvier 2023, pour débloquer son diaphragme. Difficulté à respirer.
Nous avons regardé ensemble son alimentation et ses croyances limitantes. Une séance de kinésiologie par mois, des eaux de soins appropriées et surtout une volonté forte de pouvoir soulager son blocage au niveau du diaphragme.
Aujourd'hui mois de juin, A. a lâché 19 kg ...
Il s'est remis au sport avec 10 mn par jour chaque matin, de grandes balades à vélo, il découvre une autre manière de manger, priorisant la qualité plutôt que la quantité.
- Accepter "qui je suis" passe par accepter de laisser partir "qui j'étais", pour laisser venir "qui je serai".
- Son impression : "c'est comme quand j'ai arrêté de fumer, tous les aliments ont un goût différent. Je ne suis plus dépendant de l'horloge, j'apprends à manger quand j'ai réellement faim, je ne savais même plus à quoi ressemble la "vrai" sensation de faim. On ne meurt pas si on ne mange pas...
J'ai écouté et libéré mes faims émotionnelles, mon appareil digestif a des temps de repos, je vois mes côtes, mon ventre est plat, je commence à me muscler sans effort.
J'ai changé ma garde-robe, mon cerveau est plus vif aussi et je retrouve le plaisir de lire. Je ne savais pas que c'était possible, mon corps a fait ça tout seul...
Je pense que j'étais mûr pour lâcher le passer, totalement.
Et non, prendre 500g par an n'est pas "normal", ça fait 15 kg en 30 ans... Et ça fatigue l'organisme et le moral. Je viens de m'offrir une seconde jeunesse.
Le plus difficile ? Accepter le fait de ne plus jamais m'alimenter comme j'en avait pris l'habitude ". Certains aliments feront désormais partie d'une exception plutôt que d'une habitude quotidienne.
(Chaque personne est différente, chaque histoire de vie aussi, chaque expérience d'accompagnement le sera aussi, ainsi que le résultat final et certains d'entre-nous auront peut-être besoin d'un accompagnement complémentaire par un professionnel de santé.)
Belle journée
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#kinesiologie
#amincissement
Pour toi !
Imaginez que vous vous donnez soudain le droit d'être...
Furieusement heureux !
Oui, imaginez une seconde que vous n'êtes plus l'otage de vos peurs, que vous acceptiez les vertiges de vos contradictions.
Imaginez que vos désirs gouvernent désormais votre existence, que vous ayiez réappris à jouer, à vous couler dans l'instant présent.
Imaginez que vous savez tout à coup être léger sans jamais être frivole.
imaginez que vous êtes résolument libre, que vous avez rompu avec le role asphyxiant que vous croyiez devoir vous imposer en société. Vous avez quitté toute crainte d'être jugé.
Imaginez que votre besoin de faire vivre tous les personnages imprévisibles qui sommeillent en vous soit enfin à l'ordre du jour.
Imaginez que votre capacité d'émerveillement soit intact, qu'un appétit neuf, virulent, éveille en vous mille désirs engourdis et autant d'espérances inassouvies.
Imaginez que vous allez devenir assez sage pour être enfin imprudent.
Imaginez que la traversée de vos gouffres ne vous inspirent plus que de la joie.
Alexandre Jardin
"quoi qu'il en soit je suis en retard de toute façon"
... À moins que ce ne soit tout le contraire ...
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#kinesiologie
Lors de certaines interventions chirurgicales en coelioscopie, comme la salpingectomie, se fait sous anesthésie générale, l’abdomen est gonflé avec du gaz carbonique pour visualiser l’intérieur de la cavité abdominale et repousser l’intestin. Il y a des effets secondaires possibles - anesthésie (nausées, vomissements, somnolence...) et en particulier des phénomènes douloureux, principalement au niveau abdominal mais pouvant s’étendre aux épaules et qui peuvent durer plusieurs jours - liés à la présence du gaz (CO2) résiduel.
Les séances que je propose permettent - grâce aux barrières energétiques de Maddalena Gualtieri, de vous soulager, notamment les suites d'anesthésie et les douleurs liées au gaz insufflé.
C'est cool ! non ?
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Un placebo est un produit pharmacologique témoin de l'activité statistique d'un produit, opération, sans produit actif... Il semble induire des effets physiologiques et/ou psychologique de l'ordre d'un effet pavlovien (une réaction involontaire, non innée, provoquée par un stimulus extérieur) ou de l'attente d'une réponse au traitement.
L'effet placebo est l'effet thérapeutique obtenu sur des paramètres biologiques ou comportementaux.
Les recherches en imagerie cérébrale montrent que la dopamine et les endorphines sont des médiateurs des effets placebo. Ils s’accompagnent de modifications semblables à celles observées après
administration d'un médicament, dans les mêmes aires cérébrales.
Toutes les maladies sont sensibles à l'effet placebo.
Des fonctions complexes du cerveau démontrent des interactions entre cerveau et système immunitaire.
Le taux d'efficacité varie entre 35% à 90% en fonction des douleurs. (90% correspond aux résultats des douleurs liées à une maladie reliée à l'angoisse).
Curieusement, quand le placebo est actif, sa pharmacologie est assez semblable à celle d’un composé biologiquement actif.
L'attente positive du patient concernant l'amélioration de son état peut être un moteur de l'effet placebo. L’effet placebo est particulièrement important quand le malade a déjà été traité par un produit actif.
Chez l’humain, on remarque l'effet dans la réduction de l’anxiété et du stress, la nature des informations données au patient, la libération d’endorphine ou de dopamine en relation avec le système de récompense ou la qualité de la relation avec le thérapeute. Données non-quantifiables, car reliées au système de croyance des individus et à des données cognitives et non cognitives.
Des éléments cognitifs et émotionnels sont associés pour conduire à l’effet placebo et, en clinique humaine, il est probable que les deux sont à l’œuvre simultanément. L’effet placebo est particulièrement important lorsqu’il n’y a pas de lésions organiques chez le sujet et que le placebo agit sur des paramètres tels que la douleur ou l’état psychique.
Une question reste entière pour les scientifiques : Comment le conditionnement et l’ensemble des émotions mises en jeu dans la relation thérapeutique peuvent-ils activer, dans le cerveau, des circuits capables de reproduire la réponse biologique attendue ?
MEDECINE/SCIENCES 2005 - Inserm
Je crois qu'on est encore loin des résultats des recherches concernant la capacité des organismes vivants à retrouver la santé et cette notion d'effet placebo. S'ouvrir à plus grand que nous ? ;o)
Mais pour certaines pathologies, l’effet placebo peut atténuer les symptômes dans 80% des cas : maux de tête, anxiété, insomnie, troubles gastro-intestinaux, acné et même certaines allergies. C'est également le cas chez les patients atteints de dépression où, sous l'effet d'un placebo, on observe des modifications de l'activité électrique de certaines aires du cortex cérébral".
L’effet placebo est un des meilleurs exemples de la relation corps/esprit, c’est-à-dire des interactions qui peuvent exister entre notre esprit et notre corps. Aujourd’hui, des études sont menées pour comprendre comment influer sur cet effet placebo. (DR Didier Bouhassira neurologue, directeur de l’unité Inserm)
Les recherches portent sur le fait que des personnes sont prédisposés dès leur naissance à recevoir les effets thérapeutiques d'un effet placebo. Si l'on parvenait à mieux identifier ces gènes, on pourrait aiguiller les patients qui en sont porteurs vers des traitements dont l'efficacité réelle n'est certes pas encore démontrée, mais qui sont peut-être aussi moins chers et comportant moins d'effets secondaires.
L’effet placebo est réel, il ne s’agit pas d’une vue de l’esprit. Ce phénomène a aussi été observé et étudié en chirurgie. Mais il y a quand même des limites. Le cerveau et le corps ne peuvent pas tout. Dans le cas des maladies infectieuses, des cancers ou des lésions organiques, l’effet placebo peut être utile, mais il ne peut suffire.
(François Chast ancien chef du service de pharmacie clinique à Cochin - Hôtel Dieu et Necker Enfants malades (AP-HP, Paris), président honoraire de l’Académie de pharmacie).
Ma première lecture concernant l'effet placebo fut le livre de Émile Coué !
Émile Coué(1857-1926) - pharmacien, reçut un jour la visite d’une personne lui demandant de lui remettre un médicament interdit. Ne souhaitant pas la voir repartir sans rien, il lui donna un flacon d’eau distillée en lui recommandant de bien respecter la dose prescrite tant le remède était efficace. Huit jours plus tard, cette personne revint pour le remercier, elle était guérie ! Emile Coué conclut que la pensée agit sur l’organisme et réalisa l’importance de l’imagination dans le processus de guérison. Il entreprit alors des recherches sur le subconscient en collaboration avec les spécialistes de l’époque et développa une technique d’autosuggestion basée sur la pensée positive. La méthode Coué était née.
Il la formalisa en une phrase et recommanda à ses patients de se la répéter vingt fois de suite tous les jours, le matin au réveil et le soir avant de s’endormir : « Tous les jours, à tous points de vue, je vais de mieux en mieux ».
C'est cette phrase que je me dis en boucle, quand je me réveille la nuit. ;o) Florence Bouillard
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« Si vous voulez guérir le corps, vous devez d’abord guérir l’esprit ». Platon (429-347 av.J.-C.)
La dépendance affective se traduit par un trop grand besoin d'affection des autres. Relation amoureuse, amitié ou même professionnel.
Qu'est-ce que la dépendance affective ?
Lorsque l’amour et l’estime de soi dépendent de facteurs extérieurs, on parle de dépendance affective. Ce trouble désigne l'incapacité psychologique d’une personne à vivre sans l’approbation ou le jugement positif de l’autre. La dépendance affective engendre très souvent un manque de confiance en soi dans tous les domaines de la vie. En cherchant constamment l'approbation de leur partenaire, de leurs proches, amis ou collègues, les dépendants affectifs ont tendance à perdre de vue ce qui importe réellement pour eux-mêmes. Cet effacement et la peur d’être abandonné peuvent conduire la personne dépendante affective à accepter des autres ou à faire subir l’inacceptable.
Quelles sont les causes de la dépendance affective ?
Il existe de multiples facteurs qui peuvent expliquer une dépendance affective. Elle peut survenir chez les personnes hypersensibles, timides, introverties, manquant de confiance en elles ou ayant connu des difficultés dans une relation précédente. Certains traumatismes de l’enfance (manque d’affection, maltraitance, choc émotionnel) peuvent également favoriser son apparition. Ce trouble constitue un frein à des relations saines dans toutes les formes de relation, au sein du couple comme en amitié ou au travail.
La dépendance affective en amitié ou dans les relations amoureuses se manifeste par la jalousie, un besoin d’exclusivité. Les preuves d’amitié ou d’amour et les attentions seront insatisfaisantes, engendrant une grande fatigue psychologique.
Au travail, le besoin de reconnaissance et de considération est courant. Lorsque ce besoin devient un frein à la réalisation des missions professionnelles ou qu'on en souffre, il est nécessaire d'agir. Peur de l’échec, peur du jugement de soi, de l'autre, procrastination, excès de perfectionnisme, manque d’autonomie, syndrome de l’imposteur...
La dépendance affective peut toucher les hommes et les femmes, les hommes ne sont pas épargnés (sensation de manque, jalousie, chantage affectif).
Quels sont les symptômes de la dépendance affective ?
On remarque certains symptômes, peur de l'abandon, jalousie, insatisfaction chronique, incapacité à prendre des décisions, manque d'estime de soi, comportements compulsifs (surconsommation d’alcool, de tabac, de drogues ou de jeux vidéos...), anxiété. Sans prise en charge adaptée, la dépendance affective peut mener jusqu’à la dépression.
Comment sortir de la dépendance affective ?
Cela passe par une prise de conscience. La personne doit se rendre compte qu’elle souffre. Consulter quelqu'un pour retrouver estime de soi et confiance en soi, se recentrer sur ses propres besoins et envies. La peur de l’abandon ou de se retrouver seul peut être maîtrisée grâce à des exercices simples dans la vie au quotidien. Entreprendre une activité loisir, accepter ses émotions, ses frustrations. La pratique d’un sport et la méditation peuvent aider à regagner confiance en soi et à chasser les pensées négatives.
Que faire en cas de rupture lorsqu’on est dépendant affectif ?
Les thérapies comportementales peuvent être très efficaces. Les pratiques alternatives apportent également un soutien. Le résultat visé est de changer le schéma de dépendance et de retrouver autonomie et équilibre.
Parfois un accompagnement psychologique est nécessaire : Les répercussions de la dépendance affective peuvent être sérieuses. Si vous pensez être atteint de dépendance affective et souffrez d'anxiété ou de dépression, il est recommandé de solliciter un avis médical (médecin traitant, psychiatre). Plus les symptômes seront important et plus vous aurez besoin de consulter un médecin. La kinésiologie quant à elle, viendra accompagner en complément ou si les symptômes ne sont pas trop importants, vous aideront à améliorer vos comportements et ressentis.
*Si vous êtes victimes de violence conjugale, ou de manipulation professionnelle ou personnelles, appelez le 3919. En cas d’urgence composez le 17 ou le 114 (pour les personnes sourdes, malentendantes, aphasiques ou dysphasiques). Vous souffrez d'un problème de santé mentale ? obtenez de l'aide d'un médecin généraliste, psychologue ou psychiatre.
Portez-vous bien !
Après une année 2020 difficile pour chacun d’entre-nous, aborder 2021 avec plus de sérénité est un excellent moyen de commencer l’année du bon pied et concrétiser ses projets.
Les confinements et semi-confinements ont été vécus de différentes façons (opportunités d’introspection pour les uns et source de stress pour d’autres).
Quels que soient vos besoins, vos projets, aborder 2021 en étant accompagné en kinésiologie ou en communication profonde accompagnée est très bon moyen d’avancer apaisé.
Changer de travail, manger équilibré, se mettre au sport, apprendre une nouvelle langue, un nouveau métier, Arrêter de fumer, nous prenons traditionnellement des résolutions en début d’année avec des objectifs parfois ardus à atteindre.
En étant accompagné en kinésiologie et en Communication profonde accompagnée (CPA) vous pourrez affiner vos projets et les rendre réalistes. Votre praticien va vous permettre de mettre en place un accompagnement efficace pour lutter contre de vieilles habitudes ancrées, des peurs refoulées, des addictions ou des blocages. Retrouver l'élan, l'envie et l'énergie pour prendre confiance en soi, changer de travail, d’arrêter de fumer, entamer une reconversion...
L’efficacité de la kinésiologie et de la Communication Profonde Accompagnée (CPA) repose sur votre capacité à pouvoir communiquer avec votre inconscient, en adaptant l’accompagnement en fonction de vous et de vos besoins, des exercices sont parfois proposés entre les séances pour ancrer le travail initié en séance.
Les résultats obtenus grâce à un accompagnement avec un kinésiologue et un praticien en (CPA) sont durables dans le temps.
Se dire que l’amour inconditionnel est possible dans certaines situations mais pas d'autres, avec certaines personnes mais pas d'autres est une résistance typique de l'expression de notre ego.
Notre ego ne comprend pas les notions spirituelles. Le concept de l’amour inconditionnel fait partie du monde spirituel et non du monde matériel qui comprend les aspects physique, émotionnel et mental de l’humain.
Aimer inconditionnellement veut dire reconnaître observer, accepter, sans condamner, sans juger. On observe et on accepte une étiquette « positif ou négatif » tout simplement en accueillant le fait que chaque individu a le droit d'être différent.
Notre ego croit que accepter veut dire être d’accord avec la personne (être) et l'attitude (action). Notre cerveau va alors chercher dans sa mémoire consciente et inconsciente tout ce que nous avons appris dans le passé (en quelques secondes). Notre perception des choses vient toujours de la mémoire ou l’expérience passée dans notre vie ou en transgénérationnel. Donc il est logique de percevoir les événements en général d’une façon différente des autres.
Prenons un cas classique et très dur souvent utilisé pour expliquer : une mère explique que son fils se drogue et qu'elle l'aime inconditionnellement. Elle ne le lui interdit pas, car il en a besoin, et pense que c'est une preuve d'amour que d'accepter que son fils se drogue (il y a même le cas d'un médecin qui fournissait de la drogue à son fils pour qu'il ait de la drogue de bonne qualité car de toute façon il ne pouvait pas l'empêcher de se droguer).
Convaincue que son fils continuera à se droguer s'il le lui permet et qu’une mère ou un père qui aime son fils ne peut certainement pas prendre une décision qui lui nuirait.
Sa perception de l’amour inconditionnel vient de sa dimension mentale. Elle/il croit qu’aimer son fils inconditionnellement signifie être d’accord avec sa décision. Décision malsaine qui ne peut pas être une preuve d’amour de la part d’un parent.
Dans l'amour inconditionnel « Je ne peux pas dire à mon fils que je l’accepte, car il continuera à se droguer et peut-être encore plus s’il sait qu’il a mon approbation ».
La réalité d'un point de vue spirituel c'est accepter véritablement et c’est pouvoir dire oui à ce qui se passe lorsque nous ne sommes pas d’accord. Nous savons que nous ne sommes pas d’accord, que ce genre de comportement ne correspond pas à nos valeurs, mais nous pouvons accepter que pour le moment ce soit ce qui se passe. Voilà ce que signifie aimer d’une façon inconditionnelle. Tant qu'on ne l'a pas expérimenté et assimilée, il est impossible de savoir ce que veut dire aimer inconditionnellement.
- Reconnaître que chaque personne sur terre est responsable à 100 % de ses actes. « Oui mais, mon fils n’a que 15 ans, je suis encore responsable de lui » dira le parent. En prenant sa responsabilité le parent saura que son enfant peut décider ce qu’il veut dans la vie, car c'est lui-même qui assumera les conséquences de ses actes.
- D'un point de vue spirituel on « s'attire à soi » un enfant qui nous fait vivre des choses difficiles pour apprendre à s’accepter soi-même. Je trouve que s'est la partie la plus intéressante et en même temps la plus difficile - la notion de « s'attirer à soi » les personnes et les événements afin de grandir en liberté d'être. Le moyen pour découvrir ce que le parent doit accepter dans la façon d'être de son fils est « de vérifier de quoi il le juge quand il se drogue ». S’il le juge d’être lâche, faible ou dépendant, son fils est présent dans sa vie pour l'aider à découvrir qu’il n’accepte pas d’être ainsi lui-même et ne se l'autorise pas. Ni le père, ni le fils n’acceptent ces façons d'être du parent.
On parle alors d'accepter une attitude, une façon d'être et jamais le comportement. Ce n’est pas le fait de se droguer que la mère ou le père doit accepter, c'est « accepter ce qu'il juge » comme « ÊTRE lâche, faible et dépendant ».
Comment un parent pourrait faire : « J’ai découvert que tu te drogues et je veux te dire que je ne suis pas du tout d’accord. Ça me fait beaucoup de peine et ça me fait très peur. Je sais que je pourrais t’interdire la drogue, te menacer de ne plus te donner d'argent de poche, t’interdire de sortir de la maison, mais je sais aussi que tu finirais par trouver un moyen de le faire quand même. Et puis mon attitude contribuerait à nuire beaucoup à notre relation. J’ai appris que je dois utiliser cette situation pour découvrir ce qu'elle peut m'apprendre et pour y arriver, je dois découvrir ce que je te juge d’être. Eh bien, je te juge d’être lâche, faible et dépendant. Il semblerait que si je te juge d’être ainsi, cela indique que je me juge aussi de l’être parfois avec moi-même ou les autres et que toi aussi tu me juges parfois. Peux-tu me dire dans quelles circonstances tu m’as jugé d’être lâche, faible et dépendant avec toi ou avec quelqu’un d’autre ? »
Dès l’instant où une personne se permet ce genre d’expérience, il se produit ce que j’appelle un miracle. Dans cet exemple, l'enfant, ne se sent pas jugé par son parent, il se sent libre de lui répondre à quel moment il l’a jugé. Le miracle est que chacun se sentira mieux après la conversation, chacun sentira le respect de l’autre. Le fils pourra partager avec son parent comment il vit son expérience. Ce n'est que lorsqu'il décidera qu’il ne veut plus assumer les conséquences nuisibles de sa dépendance qu’il pourra arrêter.
Un autre moyen utilisé par de nombreux parents semble produire de très bons résultats. Le père demanderait à son fils : « Si les rôles étaient inversés, que ferais-tu à ma place ? Quelles sont les mesures, les décisions que tu prendrais ? » Il se peut que le fils lui dise qu’il ne lui donnerait plus d’argent de poche et qu’il devrait travailler pour payer sa drogue. Ainsi, le père pourrait donner des travaux à faire à son fils ou lui permettre de gagner ailleurs l’argent dont il a besoin. Il est important que le parent respecte la suggestion de son enfant. Elle est d'ailleurs assez souvent plus sévère que ce que le parent aurait décidé.
Ce sont de nombreuses occasions qui se présentent chaque jour pour pratiquer à s'aimer inconditionnellement, ainsi qu'à aimer les autres, inconditionnellement. Chaque pratique sera comme entraîner un muscle et deviendra de plus en plus facile à répéter.
(une partie de ces exemples proviennent de chroniques de Lise Bourbeau)
Pourquoi je ne vends pas de Palo Santo pour purifier les maisons ?
Il s’agit de bois utilisé en fumigation pour la purification et qui provient d’arbres sacrés en Amérique du Sud. C’est assez doux, plus doux que la sauge blanche. Le bois de palo Santo vient d’Amérique du Sud, empreinte carbone pas top.
L’engouement pour le palo santo fait que ces arbres sont surexploités et conduit aujourd’hui à une déforestation massive. Sans compter que le palo santo, dans la tradition, ne peut être offert que par un chaman. C’est un arbre sacré qu’il est interdit de couper vivant Les bâtons de palo santo utilisés pour la magie et la thérapie ne devraient être faits qu’à partir de bois tombé naturellement. Toute le monde parle de Palo Santo et de ses propriétés, on ne voit que ça sur Instagram comme si c’était LE produit de fumigation ultime, avec la sauge blanche de Californie.
On dit vouloir pratiquer la magie, la spiritualité pour se rapprocher de la Nature, développer sa bienveillance envers soi et le monde. Alors pourquoi suit-on aveuglément les « modes » sans se soucier du mal qu’on peut faire ? Nous n’avons PAS BESOIN du palo santo d’Amérique du Sud ou de la sauge blanche de Californie.
Ce qui compte le plus en magie, c’est l’intention. Le matériel utilisé est important bien sûr, mais il s’agit avant tout d’un support pour la pratique.
Savez-vous que le Romarin fait très bien ce travail ?
La fumigation d'une plante permet de purifier un lieu de vie.
Les plantes à brûler présentent à peu près toutes des qualités purificatrices sur les microparticules et les bactéries en suspension dans l’atmosphère, même si elles peuvent différer d’une espèce à l’autre.
Leurs influences sur les plans de la santé, du mental et de l’énergétique diffèrent plus volontiers. Suivant la plante utilisée vous colorerez la purification de manière différente.
La plus connue est la Sauge Blanche, mais savez-vous qu'il y a d'autres essences possible ?
Le conseil du jour est de brûler du romarin !
Confectionné en petit fagot, il peut être brûlé. Lodeur est plus douce que celle de la sauge blanche. Idéal pour les méditations douces. Le romarin évoque la notion de « nouveau départ », qu’il s’agisse de changer une habitude ou de commencer une nouvelle relation ou une nouvelle carrière. (le kit de fumigation en vente à 19 € et le fagot de romarin est à 1 €)
Comment procéder à une fumigation chez soi :
Avant de commencer, ouvrez une fenêtre pour bien ventiler votre intérieur. Placez vos herbes dans un récipient résistant à la chaleur et allumez-les. Soufflez doucement pour que le feu prenne. Ensuite, laissez la plante se consumer. Vous pouvez alors laisser la fumigation purifier la pièce mais vous pouvez aussi diriger la fumée autour de vous, avec vos mains. Et profitez-en pour méditer !
Aérer pendant la fumigation. Rester toujours à coté (risque d'incendie), évitez de laissez consumer votre encens près d'un courant d'air. Ne pas utiliser en présence de bébé. Ne pas laisser à portée des enfants. Ne pas diffuser de fumigation de plante en cas d'allergie à l'un de ses composants. Attention aux détecteurs de fumée !
(La fumigation se fait également par production de vapeur d’eau chargée des principes actifs des plantes : mettre les plantes dans un récipient, verser de l’eau bouillante sur les plantes. Placez-vous au-dessus et recouvrez votre tête et vos épaules avec une grande serviette, inspirez très profondément en fermant les yeux. A poursuivre pendant cinq bonnes minutes ou lorsque l’eau est devenue froide. Attention au contact avec les yeux.)
Pour tirer les bénéfices d’une authentique fumigation tout en évitant ses inconvénients, veillez à ce que ceux que vous choisirez soient exclusivement composés d’ingrédients naturels. Une fois la fumigation terminée, aérez quelques instants. Idéalement, passez un coup de chiffon à poussière humecté et lavez le sol pour débarrasser la pièce des derniers miasmes neutralisés par la fumée.
Pour aller plus loin :
Sur tous les continents, les hommes ont pratiqué la fumigation pour honorer leurs dieux, éloigner les mauvais esprits ou accompagner leurs rituels. Les Mayas s'en servait pour honorer leurs divinités, les Incas pour célébrer le dieu soleil. Les Égyptiens en l’honneur de leur propre dieu solaire, Rê.
Une étude indienne a mis en lumière les véritables possibilités de la fumigation dans l’assainissement d’un espace confiné, comme dans une habitation. Elle a observé qu’une heure de fumigation par combustion d’un mélange de bois et d’herbes médicinales et odoriférantes (appelé havan samagri, très courant en Inde pour de nombreux rituels de purification) entraînait une réduction de 94 % de la population bactérienne aérienne.
Quand on sait que l’air ambiant, dans les pays développés comme dans les lieux plus reculés, à l’intérieur autant qu’à l’extérieur, peut véhiculer jusqu’à 1 800 types différents de micro-organismes, dont de nombreuses souches bactériennes pathogènes et résistantes, on mesure mieux l’intérêt que peut revêtir la fumigation aux plantes médicinales et odoriférantes.
La fumée des plantes ainsi comburées capte de grandes quantités d’ions positifs. Ceux-ci servent prioritairement de véhicules aux microparticules pour qu’elles puissent se maintenir en suspension dans l’atmosphère. Lorsque les ions négatifs sont majoritaires, les poussières se déposent. Un air saturé d’ions positifs est délétère pour la santé, tandis qu’une atmosphère riche en ions négatifs (comme au bord de la mer ou à la montagne) est au contraire très bénéfique, notamment pour les voies respiratoires, le système immunitaire et l’équilibre psychique.
Plutarque évoque les effets du kyphi dans ses Œuvres morales : « Il s’en exhale une vapeur suave et profitable, qui change les conditions de l’air. Cette vapeur s’insinuant dans le corps au moyen du souffle, le berce d’une manière douce et insensible, l’invite au sommeil, et répand autour de lui une influence délicieuse. Les soucis journaliers, qui sont comme autant de chaînes si pénibles, perdent de leur douleur et de leur intensité ; ils s’affaiblissent et se relâchent, sans le secours de l’ivresse… De cette manière se charment et s’adoucissent les troubles et les désordres de l’âme. »
Ces informations, indications et utilisations sont données à titre indicatif et informatif et ne sauraient en aucun cas engager notre responsabilité. Pour tout usage d'encens dans un but thérapeutique et pour plus d'informations, consultez un médecin. Sous réserve d'erreurs ou d'omissions.